Bienvenue à vous amis d’un lointain passé qui est aussi présent dans la présence que nous sommes. Nous sommes ravis de cette découverte sous forme de redécouverte. Nos chants longtemps vous ont portés, nos chants tels des envolées de violons voilés. À l’aube d’une ère nouvelle nous sommes vous et nous en formes séparée et rejointoyée comme un à tout jamais. Nous vous accueillons dans notre vie ainsi que dans la vôtre. Liens universels indéfectibles et incessibles, vous revoir nous voir en miroir nous ravis.
Proches nous l’avons toujours été même dans les velléités et controversées, de reproches ou de grimaces pour nos proches il n’y a de place. Vos envolées lyriques, toniques et extatiques nous sont apparues en myriade de tonalités variées même dans vos sonorités sombres, sobres et ombrées. Vous êtes une réjouissance et une jouissance atypique et photonique. Vous voilà ici et là, maintenant.
Par nos pensées et visions de vous et nous, nous avons su vous appeler et vous rappeler à nous pour un retour à vous-mêmes. Virevoltons et amusons-nous de ces instants encore faibles et transits en transition de vos aspirations. Des peurs il est encore question mais la question n’est plus en suspension quand aux raisons de vos cœurs. Vous vibrez haut et fort votre vérité incarnée en diapason de vos souhaits aimés. Votre assemblée toute différenciée comme il vous y paraît et bien plus en cohésion d’adhésion au souffle rythmé de la vie de tous les ici.
Vos intentions et mots de missions tel que vous les envoyez vont par delà les espaces et les temps. Vos vibrations ont une dévotion pour l’authentique et le rythmique en accords soniques empiriques et diffractiques. Vos lumières dysphoniques éclairent par delà les perçus et connus en aurores astrales et spectrales, cosmiques et nanophotoniques. Une extralucidité vous imprègne dans vos fondements et fondations venant toucher vos aspérités les plus marquées telles que vos terreurs et frayeurs enfouies ici et dans tous les ici.
Vous êtes et avez toujours été une beauté vraie. Enfants divins du divin. Vous êtes identiques au tout, infini, non défini et intemporel non mortel. Vous voici à la porte de votre temple main sur la poignée prêts à la tourner pour ouvrir vos yeux au gigantisme de vos vérités, de votre identité vraie non portée tels vos habits d’illusionnistes et accessoiristes.
Plongez dans ce berceau magique qui vous regarde et vous voit naître à vous-mêmes, par vous-mêmes, pour vous-mêmes. Des ondes de chocs douces et doucereuses vous portent vers cet allant, cet élan de vos cœurs portés en collier plus qu’en intériorité. Vous êtes chez vous ici, dans chaque ici qui ne font qu’un, indivisible. Merci aussi.
Êtres sacrés et cachés Australica
( mardi 5 novembre 2019 – Villa urbana )