Modification

Une mutation, qu’elle soit perpétrée en bonté, en méchanceté, n’est en réalité qu’une transformation. Vous mutez en permanence dans chaque inspire et expire et même entre cela vous mutez, même dans la retenue de cet inspire et cet expire. Votre modification n’est pas du fait de vos bandes organisées, elle est, elle existe parce-que c’est le fondement de ce qui vit, c’est, vous appelez ça l’adaptation en fait, une mutation qu’elle soit adaptative ou non, se fera, envers et contre, dans cette perception que vous avez, vous, envers et contre tout, parce que ce n’est pas l’objet de la mutation, d’être pour ou contre, cela se fait, nous pourrions dire que cela est programmé, mais par qui ? Là, il n’y a guère de réponses valables ou entretenables, vous pourriez avoir de très longues discussions et appréhensions, dans le terme d’évaluer, d’évaluation, mais les réponses sont bien plus profondes et bien moins perceptibles qu’elles en ont l’air. Elles ne sont ni duelles, ni non duelles, elles sont, elles sont tout simplement.

Les plans duels sont ainsi fait, il y a très peu de connexion ou de perception de la réalisation de ce qui est, le bon, le mauvais, ont besoin d’exister pour cette dualité, sinon ce ne sont pas des plans duels. Et oui, c’est le choix, c’est ce qui a été choisi et vous la vivez cette dualité avec un regard bon ou un regard mauvais, mais vous la vivez. Nous pourrions dire vous l’avez créée, vous la co- créez avec tout ce qui est, lorsque, au même titre que les plans non duels existent, ils ont besoin, le terme est choisi à dessein, ils ont besoin de votre plan de dualité pour exister, oui cela semble incohérent, et vous pourriez également vous poser et souhaiter que tout cela n’est pas vrai, mais vous êtes nombreux à aller chercher une connexion à la non dualité parce que vous êtes persuadé que c’est le plan rêvé, ça l’est d’un certain point de vue. Et ce que vous êtes, l’immersion que vous faites dans cette dualité très prononcée, quelque soit son degré, chacun le vit à sa façon, pour ses raisons, pour ses façons, son façonnement, et du coup n’est-ce pas que vous la détestez cette dualité ? Très duel, en effet.

Et, bienvenue également, bienvenue parce que c’est en joie, avec joie et dans une forme d’euphorie que vous avez plongé et que vous êtes allés chercher au plus profond, même dans ce que vous dites de moche, de pas beau, de laid, et d’envahissant, de dominant, finalement, la domination c’est vous qui la créez par votre aversion à cette domination. Peu d’entre vous ont l’aversion de la vie, il y en a c’est vrai, mais pour une grande majorité de vous, vous êtes pour un grand oui à la vie et qu’est-ce qui crée l’aversion de la dualité si ce n’est la vie. C’est un miroir caché, une potentialité de s’exercer, est-ce que dans le divin, il n’y a aucune dualité ? C’est à regarder, peut-être que vous avez une multitude d’histoires vous contant d’autres points de vue et est-ce que les dieux sont mauvais, ont été mauvais, ont été duels et guerriers. La guerre est un dieu et il exerce son état d’être sans aucune forme de dualité, puisqu’il réside dans un plan non duel.

Après, cette dualité, vous la créez chaque instant de votre existence pour des besoins qui vous échappent et des besoins qui sont, outre absolument personnels, mais également universels. L’équilibre se fait dans la dualité ailleurs il n’y a pas de perception de ce plan absolument duel, même s’il y a compassion et réception des énergies duelles pour exister, pour se maintenir en quelque sorte. Pour descendre dans la dualité, parlons de descendre puisque c’est, pour vous, comme une perception réelle, donc cette descente se fait par différents plans de modalités, de modularité, vous descendez dans les tours avec des développements ou des contractions énergétiques, corporels et mental. Vous le savez, le plan mental exerce un choix, une forme de force de volonté, comme une bouée un peu cerclée, qui vous permet d’exister dans cette forme de dualité ultra contractée mais les termes que j’utilise ici sont une forme de votre réalité, sans être une réalité vraie puisque, tout est imagé, tout est imaginé, tout est rêvé.

Tout ce qui est matérialisé ou non, vit dans une forme de convivialité, pour une forme d’éternité. Tout est éternel, pas forcément la forme, donc tout vit même dans la forme mais la forme n’est pas ce qui fait l’éternité. L’éternité existe sans forme, avec forme, tout cela est parfaitement accepté sans étiquette ou label.

Votre forme bouge en permanence, vous en avez la perception uniquement quand vous avez cette sensation, cette impression, ce vu, de votre dégradation physique. Pourquoi existe-t-elle ? Eh bien, pour vous signifier que ce n’est pas là votre éternité même si, en effet, certaines formes, la vôtre, toutes les formes existent pour l’éternité. Vous appelleriez ça une banque de données, un référencement, un agencement et cet enregistrement de ce qui est, existe pour une forme d’éternité. Est-ce que vous savez ce qu’est l’éternité ? Avez-vous la moindre perception, ne serait-ce qu’infime de ce que c’est ? Peut-être, peut-être pas, peut-être que même votre vision, votre équation de votre univers infini a un aspect fini, je parle là de votre vision bien-sûr. Est-ce que votre univers est infini, est-ce qu’il n’est pas à l’image de vous, défini et laissant place un moment donné à tout autre chose ? Cette impression d’infini vous la croyez percevoir à travers vos astres qui, depuis bien des temps maintenant, n’ont, dans votre perception, quasiment jamais bougés, une espèce de ronde éternelle. Un peu à l’image de votre perception de la course cosmique. Peut-être que, chaque fois que vous lâchez des yeux cette course, elle se modifie drastiquement et lorsque vous y portez de nouveau attention avec vos intentions et vos intentions de perception, du coup, à ce moment d’observation, vous avez l’impression que tout est là, cela rassure, cela donne une impression de connu de votre environnement lointain.

Vous essayez de faire ça en proximité, dans vos cités et vous percevez de plus en plus que cette perception de fixité a une portion d’erronée. Vous essayez de contracter la matière pour qu’elle persiste, cela génère bien souvent vos zones pas très jolies, celles que vous percevez comme pas très jolies. Si elles existent, elles ont un rôle tout aussi important que vos somptueuses villas, elles vous montrent l’aspect périssable, pas spécifiquement dans l’aspect matériel, mais dans l’aspect visuel. La visualité de votre matérialité, j’entends, et cela permet également ce rôle fantastique, ce jeu, ces voluptueuses envolées de dualité. Le beau, le laid, deux faces de la même pièce, aussi bien une pièce de monnaie, qu’une pièce jouée et c’est finalement expérimenté l’entièreté, ce qui est, sans beau pas de laid, sans laid pas de beau. Le laid est beau à regarder, il va chercher au plus profond, il va creuser et faire émerger vos frayeurs pour vous permettre de regarder ce que vous appelez vos erreurs qui n’en sont pas. Votre beau phrasé “l’erreur est humaine” est une belle invention, une forme de vérité détournée puisque vous êtes tous, toute l’humanité et vous n’êtes pas les seuls compris là-dedans, beaux et sans erreur. Les chemins d’erreurs, les manifestations d’erreurs, existent bien-sûr, c’est une forme de perception, une option d’observation, pas une fondamentalement vérité au regard de l’universalité.

Vous êtes merveilleux, somptueux mais ça semble creux lorsque vous l’entendez, parce que vous avez également inventé le jugement divin. Il est divin, tout l’est bien-sûr, aussi dans cette perception réelle de la divinité de chaque portion de ce qui est de ce fait, vous vous êtes persuadés, vous avez même généré des confréries autour de cela, comme un étendard de jugement divin. Ce qui est divin, c’est vous et le jugement, c’est vous. C’est vous qui vous l’apportez en instantané, la plupart du temps, parfois vous perpétrez ces jugements les uns vis-à-vis des autres, un jeu de justice qui porte un nom éloigné de sa vibration. La justice est aussi une perception, cette perception vous l’avez aménagée la plupart du temps, la justice divine existe, au même titre que le jugement divin mais tout ça n’est qu’un jeu et cela a bien souvent pris des aspects de jeu de dupes. Mais, tout est bien vécu d’un côté comme de l’autre, même dans la perception d’un malaise ou d’une injustice. Comment expérimenter la justice sans aller expérimenter l’opposé, cela complète l’expérience. Et oui, votre justice est injuste la plupart du temps, elle a des mesures qui ont des côtés commerciaux, dirions-nous, des côtés pas très jolis, elle est commerciale votre justice mais tout cela est bien venu, bien vu, bien joué, c’est assez drôle finalement de regarder jouer tout cela.

Avec finalement, des envolées de contrariétés dans une forme de population massive qui accepte l’aveuglement la plupart du temps. Je dis bien accepte, tout est à disposition dans la connaissance, vous avez posé, ensembles, cette forme de passivité sur vos choix qui sont finalement pas vos choix, vous le percevez et c’est vrai, vous laissez d’autres guider vos choix au même titre que ces êtres que vous amenez aux pâturages. Ils ont une légère appréciation différentes de ce que vous avez, ils savent qui vous êtes, ils ne se basent pas uniquement sur votre aspect, ils perçoivent qui vous êtes. Et je ne dis pas, même si mon ton de voix est un tantinet mystérieux ou accusateur, il n’y a pas d’accusation là, je le dis dans le sens d’autres que vous, plus doux, nous pourrions dire, même si le cycle de vie fait que l’un devient l’autre et l’autre devient l’un très souvent pas tout le temps, ce sont des choix, et donc cette passivité, cette docilité, n’est rien d’autre qu’une acceptation, un accueil de ce qui est. Cette image qu’ils vous envoient vous invite à faire de même, il n’y a pas tant à se lever et à brandir des slogans pour reléguer la manifestation à une autre manifestation cela a été fait et refait et défait. Le collectif s’est remanié un certain nombre de fois et pas forcément dans la joie. Mais tout cela n’est qu’un peu de blabla supplémentaire.

Vous êtes pleinement ce qui est, ce qui est nécessaire nous pourrions dire, si l’on parle en forme de dualité, vous êtes, par ce fait vous êtes inclus dans le merveilleux il n’y a pas d’autres possibilités, même si vos croyances vous l’interdisent, ou tentent de vous démontrer l’inverse, vous êtes dans le merveilleux, vous êtes le merveilleux, vous êtes l’expression du merveilleux et du splendide, merci.

Canalisation reçue d’un Collectifs Astrics

vendredi 11 juin 2021 – curram in silva

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